Accéder au contenu principal

Articles

Affichage des articles du juillet, 2013

L'île d'Ometepe sur le lac Nicaragua

Nous quittons Grenade, non sans regret, pour continuer notre périple au Nicaragua. Le plan d'origine était de prendre un ferry au départ de Granada pour rejoindre l'île d'Ometepe en cinq heures. Après que trois personnes nous aient fortement déconseillé celui-ci en raison de son inconfort, nous changeons l'itinéraire et reprenons un Chicken Bus pour nous approcher au plus près de l'île. Au port de la petite ville de San José, ce n'est plus qu'un trajet de une heure en bateau qui nous attend. A l'heure où nous arrivons c'est une barque en mauvais état qui fait le trajet. Pas trop le choix, donc c'est sur ce petit bateau, assis en plein soleil, que nous supporterons pendant une heure le ballottement des vagues. Et des vagues, il y en a. Cela a beau être un lac, les vagues qu'on y voit sont surprenantes. Il n'est pas difficile de s'imaginer au bord de mer... Dès les premières minutes du trajet, on aperçoit distinctement les raiso

Granada, ville au style colonial

Dans notre quête d'authenticité, nous avons sans surprise fait choux blanc à San Juan Del Sur. Pas besoin de s'éterniser, nous mettons le cap sur la ville de Granada. Cette ville est réputée pour son riche héritage architectural colonial. Malgré les invasions et destructions partielles de la ville au cours de nombreux affrontement contre les pirates anglais, français et hollandais, Granada a su gardé en état la plupart de ses bâtiments et garde sa touche andalouse espagnole. C'est au marché que nous décidons de débuter la visite. Les bâtiments attendront! Après tout, est ce qu'un marché n'est pas le meilleur endroit pour avoir un aperçu d'une culture et de ses habitudes alimentaires? En tout cas on plonge tout de suite dans l'ambiance. Chaque étale met sa propre musique latinos, ça parle fort, les bus et taxi clayonnent à tout va pour se faire un chemin à travers les piétons... En deux mots : ça vie. Petite anecdote amusante que je n'ai pas p

Nicaragua - San Juan Del Sur

Nous avons quitté ce paradis pour surfeurs que sont les belles plages de Nicoya pour nous diriger vers le Nicaragua. But de l'opération, découvrir un nouveau pays et, avec lui, une nouvelle culture. Si la côte caribéenne du Costa Rica a une culture reggae marquée, le reste du pays est assez aseptisé. On n'entend pas de musique dans les rues ou les restaurant, pas de style vestimentaire particulier... C'est peut être ce côté "clean" des pays développés? Quoi qu'il en soit, le bus nous dépose en face du poste frontière du côté Costa Rica. Nous passerons cette frontière à pied. Le temps d'un coup de tampon côté Costa Rica, dans des bureaux propres et organisés, et nous arrivons dans ce "no man's land" de deux kilomètres entre le deux pays. Bien qu'il n'y ait rien d'indiqué et qu'on ne sache pas exactement ce qu'on est sensé faire... A force de demander à droite à gauche nous finissons par trouver le poste frontière côté Ni

Péninsule de Nicoya

La découverte du Costa Rica continue par un grand écart. Nous passons de la côte caribéenne à l'Est, à la péninsule de Nicoya à l'Ouest. Grâce au transport en commun de ce pays "développé", le tout se sera fait très facilement en une seule journée. Ca change des périples interminables habituels. Sámara Nous avons la vie dure... Nous quittons des plages paradisiaques pour en retrouver de nouvelles! Seul élément difficile à maîtriser : la météo. Le Costa Rica étant une région très humide... et Juillet étant  dans la saison des pluies... On profite des rayons de soleil quand ils sont là! Oiseaux "batman" Le Costa Rica est un pur bonheur en terme d'infrastructures. On y trouve littéralement de tout, que ce soit restaurants, shoppings, etc. Cela change complètement par rapport à nos précédents pays. En revanche, il y a des désavantages à ce "développement". Les prix sont beaucoup plus élevé. On est très proche des coûts qu'on pou

Costa Rica - Côtes Caraïbes

L'aventure mongole finie, il nous fallait traverser les océans pour arriver à notre prochaine étape : le Costa Rica. Si sur une carte cela semble loin... En avion c'est encore pire. Ajoutez à cela quelques retards...  Au départ de Mongolie, nous avons tout d'abord du attendre quatre heures dans l'aéroport avant de pouvoir monter dans notre avion.  Il y avait des vents violants empêchant le décollage. Le temps de monter enfin à bord, ceux ci se sont réveillés. Du coup nous avons attendu quatre heures de plus à bord de l'avion avant de pouvoir enfin décoller. Trajet sans encombre, nous arrivons à notre première escales (sur trois) à Beijing. Les douanes chinoises étant ce qu'elles sont, nous avons comme à l'aller eu le droit à deux heures d'attentes avant d'obtenir notre tampon. Cela n'a beau être qu'un transfert, il faut un tampon. Nous n'étions dans tous les cas pas pressé puisqu'une nuit dans l'aéroport nous attendait. Petit c